• Camus (il, lui)@jlai.lu
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      1 year ago

      Intéressant, merci pour ton retour !

      J’ai effectivement un ami qui a un doctorat en chimie, il est maintenant prof en secondaire en attendant de pouvoir relancer des projets à l’université

  • un_blob@jlai.lu
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    1 year ago

    Actuellement en doctorat ici… Et franchement toute cette discussion c’est celle qu’on a tout le temps… super émission

    Pas assez de fonds, de places (les cycles retraite-postes ouverts-bloquagues par une génération-repeat…), Les post-doc qui ne sont que de l’exploitation d’un chercheur a moins cher, bref… Y’a pas grand chose qui change…

    Et y’a encore a dire dans le public… C’est dommage que ça n’ait pas duré plus longtemps…


    Au passage vous voulez savoir comment on distingue un bon chercheur d’un mauvais chercheur ? Le mauvais chercheur il cherche… Il cherche… Alors que le bon chercheur bah… Il cherche mais lui il trouve (il publie !!) Le darwinisme du directeur du CNRS pousse tellement a ce petit jeu ça empiète sur les budget… On ne finance plus que des projets qui ont des preuves de concept (histoire que ça publie quoi)… Sauf que pour ça ben… Faut avoir l’argent pour faire la preuve de concept… Et on se retrouve à avoir certain chercheurs qui font sans cesse la même chose (a un détail près) mais qui publie tranquillement… Et les autres qui triment (et je dit ça en venant d’un domaine -bio-informatique- ou franchement on est a l’aise niveau besoins et finances…)

  • flyos@jlai.lu
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    1 year ago

    Je viens de finir de l’écouter. Effectivement, dans l’ensemble, le constat est plutôt lucide, y compris de la part d’Antoine Petit qui est pourtant pas un gaucho aveteré. Petite entourlope sur ses chiffres à un moment : le problème de dire que les thèses se finissent en moyenne à 31 ans, c’est que beaucoup de thèses de SHS concernent des personnes qui ont fini leurs études il y a un moment et qui n’ont pas spécialement vocation à rejoindre le monde académique (typiquement les profs du secondaire mentionnés à un moment). Et ça, bah… ça tire la moyenne d’un côté et ça compte dans la moyenne de l’autre.

    Dire qu’en moyenne on passe 3-4 ans en post-doc, c’est à mon sens complètement faux. Je suis dans une discipline plutôt moyenne parmi les sciences formelles et naturelles sur ce sujet (biologie), j’ai passé entre 3 et 4 ans en post-doc et tout le monde trouve que j’ai eu un poste tôt !

  • just_chill@jlai.lu
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    1 year ago

    En France ou en général? La réponse est non dans les deux cas mais les raisons varient un peu.