TRIBUNE. Depuis l’introduction de la réforme du lycée en 2019, le nombre de bachelières préparées pour des études de sciences a été réduit de 60 %. Ces chiffres inquiètent le Collectif maths & sciences, qui demande, dans une tribune au « Monde », une action rapide afin de permettre à tous d’accéder à une formation scientifique.
Beaucoup se disent probablement que “c’est pas pour moi” justement à cause de tous les clichés et le conditionnement.
C’est difficile d’évaluer à échelle, mais néanmoins visible tous les jours. La femme est l’infirmière, l’homme le médecin. Une secrétaire, un ingénieur, etc.
Je trouve ça étrange que tu penses que les femmes sont, pour une quelconque raison, moins intéressées par les filières scientifiques que leurs homologues masculins, alors que cet article illustre bien que les programmes scolaires et pressions sociales jouent un rôle majeur.
Rien n’empêchait une lycéenne de faire puériculture après son bac S spé maths. Par contre quand maman et papa lui rabâchent que les enfants c’est important, forcément il y a moins de chance qu’elle s’imagine faire math sup au moment de choisir ses matières au lycée.
Beaucoup se disent probablement que “c’est pas pour moi” justement à cause de tous les clichés et le conditionnement.
C’est difficile d’évaluer à échelle, mais néanmoins visible tous les jours. La femme est l’infirmière, l’homme le médecin. Une secrétaire, un ingénieur, etc.
Je trouve ça étrange que tu penses que les femmes sont, pour une quelconque raison, moins intéressées par les filières scientifiques que leurs homologues masculins, alors que cet article illustre bien que les programmes scolaires et pressions sociales jouent un rôle majeur.
Rien n’empêchait une lycéenne de faire puériculture après son bac S spé maths. Par contre quand maman et papa lui rabâchent que les enfants c’est important, forcément il y a moins de chance qu’elle s’imagine faire math sup au moment de choisir ses matières au lycée.