Littérature ?
Houlala les gars vous êtes vachement tendus hein… Je retire, au titre que d’accord ce n’est pas le sujet, mais je ne suis pas du tout convaincu par vos arguments.
les potentielles victimes (la moitié de la population)
Je suis assez d’accord pour dire que la proportion d’agresseur sexuel est plus importante chez les hommes que chez les femmes, mais il ne faut pas oublier que les hommes (en particulier jeunes) sont aussi potentiellement visés par les violences sexuelles.
KSP achievement unlocked !
Les auteurices ne manquent pas je pense… Ce qui me pousse à penser que le choix de poésies de ce niveau n’est pas fait « par défaut ». Ça me préoccupe un peu…
Mais du coup, qui serait l’accusé ? On ne juge pas les morts…
On avait le choix entre le barrage et l’extrême droite… On a choisi le barrage ; et on aura l’extrême droite !
C’est un blog hébergé par mediapart, pas mediapart ; ça n’engage que son auteur (qui est juste un abonné), pas la rédaction de mediapart.
Moi j’ai bien rigolé… C’est plutôt bien envoyé.
« Le MEDEF a dû te créer en labo en croisant les cellules souche de Giscard avec un mocassin à gland, je ne vois pas d’autre explication. » J’en glousse encore.
Après un parcours en diagonale du site, je ne sais toujours pas ce qu’est la VSA. Et c’est malheureux, car j’aurais aimé qu’on me dise ce que c’est, et qu’on m’expose aussi quelques arguments.
Donc tu suis le même raisonnement que Pete Butigieg à propos du soutien de Thiel (gay, athée) à Vance (promoteur d’une politique anti-LGBT, catho tradi) : c’est avant tout une question d’argent.
Ça interroge quand même, toute cette ribambelle de très très riches qui poussent une politique libertaro-conservato-authoritarienne… très difficile à synthétiser en fait, voire totalement contradictoire.
Si je met Stérin, Bolloré, Musk, Thiel dans un shaker il en sortira quelle idéologie ?
Hrm hrm
« …car c’est notre PROJEEEET ! »
Merci de votre attention.
Ré « information »
C’est je pense beaucoup plus une question d’idées comme ça que de gens comme ça. Mais c’est vrai que ce n’est pas facile de ne pas faire le raccourci ( « les fachos » ), surtout au début.
Chez moi (5ème de Meurthe-et-Moselle) les candidats de l’extrême droite sont décidément particulièrement gratinés : D’une part « l’officiel » Louis-Joseph Pecher, candidat dont le vrai nom de famille est Gannat, issu d’une famille de fascistes angevins, parachuté depuis là bas. Sur un compte qui vient d’être supprimé, il tenait des propos très violents, racistes, homophobes et antisémites. Par exemple : «Juif qui parle bouche qui ment». Ça lui a vallu le retrait du label « ami d’éric Ciotti », mais il reste Bardella-compatible.
Et en face, nous avons monsieur « donnez un avenir aux enfants blancs ». Ancien du gud, du genre qui trouve le RN trop mou, et qu’on voit chanter « Maréchal, nous voilà » dans nos rues.
il avait fait pratiquement toute sa campagne sans programme.
Ah il avait quand même entonné « c’est notre projet ! ». Même si on a pas retenu ce qu’était le projet…
Je trouve qu’à cet égard l’exemple de Salazar (le dictateur portugais, pas le personnage d’Harry Potter) montre bien ce qu’est une dictature centriste.
Ce qui est ironique, c’est que le projet de former un grand rassemblement républicain contre « les extrêmes » , on peut aussi le voir comme un parti unique, le seul présenté comme républicain, légitime et apte à gouverner. Bref une sorte de dictature centriste ! Parlez-moi d’extrême après ça…
Ta remarque est frappée du coin du bon sens, évidemment. Et les mondes virtuels n’empêchent pas non plus que l’on soit pleinement dans la réalité aussi. Jouer à des jeux vidéos de combat n’empêche pas −par exemple− de pratiquer aussi le judo…
Cependant, ce qui me gène (si je tente de faire miens les propos d’AB) c’est d’en faire un but en soit, une sorte d’idéal à atteindre. Et ce que critique Aurélien Barrau, c’est de ne pas questionner ce vers quoi ça nous amène. Si je prend comme exemple les évolution technique des 20 dernières années, on a mis une quantité très importante de travail dans les smartphones (à la fois le matériel, et l’écosystème logiciel dont les réseaux sociaux ne sont pas une petite partie). Alors je ne crache pas dans la soupe : j’apprécie d’avoir des cartes de partout dans le monde, de pouvoir trancher une discussion par un wikipedia, ou de regarder sur youtube du contenu que la télé n’aurait jamais fait… Mais au final, ça crée aussi une très grande dépendance à la connexion, du stress, et finalement si on revient en 2000, ne peut-on pas se demander si c’était ça que l’on voulait ?