C’est quoi la maladie qui vous met à terre ? Moi c’est l’angine, je sais pas pourquoi mais ma gorge c’est mon talon d’achille
ma gorge c’est mon talon d’achille
Jolie image. :-)
Hum, assez fragile de la gorge aussi
Définitivement la bronchite. J’en faisais au moins deux par an avant que le COVID nous donne l’habitude de porter un masque. Il m’a fallu 15 jours pour me remettre de la dernière, et ça m’a causé un burn-out avec tout le boulot que j’ai dû rattraper sur une courte période de temps…
J’ai un tas de timbres un peu datés dans lequel je pioche année après année pour affranchir mon courrier. Je vous invite à partager la satisfaction que je ressens quand j’arrive à en trouver deux (Basilique de Saint-Denis, 2015, 0,76 € et Reichstag, 2005 0,53 €) qui, unis sur une enveloppe, font exactement le prix d’une lettre verte au tarif actuel.
On remarquera au passage la hausse incroyable des tarifs postaux. L’envoi d’une lettre verte coûtera 1,39 € en 2025.
Je n’ai pas autant de “retard” sur mes timbres mais je m’achète toujours un carnet en fin d’année. Faut pas lésiner sur l’achat sur de denrée non périssables qui augmentent automatiquement tout les ans.
Je suis tellement en retard (ou en avance, selon le point de vue) que j’anticipe les nouveaux tarifs involontairement ! J’ai acheté un feuillet de quatre timbres internationaux à 1,40 € en 2020, n’en ai utilisé que deux à l’époque, donc les deux restants vont me servir à affranchir mes lettres vertes l’année prochaine — j’offre gracieusement un centime à la poste.
Idéalement, je préfère les timbres vendus à l’unité à ceux en carnet, c’est là qu’on trouve les plus jolis. Oui, il faut faire chier l’employé pour qu’il prenne du temps à nous découper les timbres qu’on veut de chaque feuille, oui, il faut leur lécher le derrière avant de les coller, mais ça vaut le coup.
Les Marianne de couleur seraient un des investissements les plus rentables si c’était vendable.
Aujourd’hui, j’ai tenté un jogging avec mon chien. D’habitude, je lui laisse vivre sa vie, se dégourdir les pattes lorsqu’on prends des sentiers peu fréquentés, mais des cas de maladies transmises au chien par le sanglier m’ont rendu un poil parano (surtout que monsieur aime lécher ce qui traine au sol…). Et puisqu’il avait l’air malheureux de devoir suivre mon rythme alors qu’il a ses habitudes, je me suis dis fuck it, on va courir. Et ça s’est étonnamment bien passé pour une première ! Il a tout de suite compris qu’il ne devait pas sprinter et ne devait pas tirer sur sa longe.
Demain on va retenter l’expérience avec les godasses appropriées pour moi, et une gourde pour le monsieur.