TRIBUNE. Depuis l’introduction de la réforme du lycée en 2019, le nombre de bachelières préparées pour des études de sciences a été réduit de 60 %. Ces chiffres inquiètent le Collectif maths & sciences, qui demande, dans une tribune au « Monde », une action rapide afin de permettre à tous d’accéder à une formation scientifique.
Ce dire que ce n’est pas pour nous c’est plutôt logique vu que ça dépend de nos envies et de nos goûts
Et cela fait 10 voir 15 ans qu’on a des interventions et des représentations féminines en sciences un peu partout, donc de ce côté là il n’y a pas de problème
Le seul point problématique cela serait effectivement l’éducation, car beaucoup de parents conditionnent encore leur enfant vers un type de métier/domaine en fonction de leur sexe
Beaucoup se disent probablement que “c’est pas pour moi” justement à cause de tous les clichés et le conditionnement.
C’est difficile d’évaluer à échelle, mais néanmoins visible tous les jours. La femme est l’infirmière, l’homme le médecin. Une secrétaire, un ingénieur, etc.
Je trouve ça étrange que tu penses que les femmes sont, pour une quelconque raison, moins intéressées par les filières scientifiques que leurs homologues masculins, alors que cet article illustre bien que les programmes scolaires et pressions sociales jouent un rôle majeur.
Rien n’empêchait une lycéenne de faire puériculture après son bac S spé maths. Par contre quand maman et papa lui rabâchent que les enfants c’est important, forcément il y a moins de chance qu’elle s’imagine faire math sup au moment de choisir ses matières au lycée.
Je sais pas on se dit “c’est pas pour moi…” . C’est une question d’image peut-être, de l’éducation, donner envie, générer des passions…
Ce dire que ce n’est pas pour nous c’est plutôt logique vu que ça dépend de nos envies et de nos goûts
Et cela fait 10 voir 15 ans qu’on a des interventions et des représentations féminines en sciences un peu partout, donc de ce côté là il n’y a pas de problème
Le seul point problématique cela serait effectivement l’éducation, car beaucoup de parents conditionnent encore leur enfant vers un type de métier/domaine en fonction de leur sexe
Beaucoup se disent probablement que “c’est pas pour moi” justement à cause de tous les clichés et le conditionnement.
C’est difficile d’évaluer à échelle, mais néanmoins visible tous les jours. La femme est l’infirmière, l’homme le médecin. Une secrétaire, un ingénieur, etc.
Je trouve ça étrange que tu penses que les femmes sont, pour une quelconque raison, moins intéressées par les filières scientifiques que leurs homologues masculins, alors que cet article illustre bien que les programmes scolaires et pressions sociales jouent un rôle majeur.
Rien n’empêchait une lycéenne de faire puériculture après son bac S spé maths. Par contre quand maman et papa lui rabâchent que les enfants c’est important, forcément il y a moins de chance qu’elle s’imagine faire math sup au moment de choisir ses matières au lycée.